Mercredi : Beaufort - Valloire (187 km)

Le soleil est là !
Le bleu existe encore !
Bien qu’il ne pleuve plus ce matin, la route est encore glissante ... et pour cause.
Les “ouvrières” du fromage de Beaufort partent au boulot !
Re - Lac de Roselend, cette fois-ci sous le soleil ... qui ne nous quittera plus de la semaine
Cormet de Roselend (1968 m) : la route est vide, nous enchaînons les virages, seuls.
Début de la “Grande Montée” : Bref arrêt au barrage de Tignes,
Traversée de Val d’Isère sans touristes, le paysage devient aride, quasi lunaire, la neige apparaît, le décor est grandiose.
Arrivée au Col de l’Iseran (2770 m) ouvert depuis 4 jours ...

La descente est tout aussi impressionnante




Nous roulons dans des décors de cartes postales
Nous enchaînons avec le Col du télégraphe (1766 m)
C’est l’heure des devoirs, nous rédigeons des cartes postales.


Descente tranquille jusqu’à Valloire.
Pour continuer le régime de la semaine,
nous enchaînons avec une fondue agrémentée de charcuterie !



Le soleil est là !
Le bleu existe encore !
Bien qu’il ne pleuve plus ce matin, la route est encore glissante ... et pour cause.
Les “ouvrières” du fromage de Beaufort partent au boulot !
Re - Lac de Roselend, cette fois-ci sous le soleil ... qui ne nous quittera plus de la semaine
Cormet de Roselend (1968 m) : la route est vide, nous enchaînons les virages, seuls.
Début de la “Grande Montée” : Bref arrêt au barrage de Tignes,
Traversée de Val d’Isère sans touristes, le paysage devient aride, quasi lunaire, la neige apparaît, le décor est grandiose.
Arrivée au Col de l’Iseran (2770 m) ouvert depuis 4 jours ...

La descente est tout aussi impressionnante




Nous roulons dans des décors de cartes postales
Nous enchaînons avec le Col du télégraphe (1766 m)
C’est l’heure des devoirs, nous rédigeons des cartes postales.


Descente tranquille jusqu’à Valloire.
Pour continuer le régime de la semaine,
nous enchaînons avec une fondue agrémentée de charcuterie !


